plus compliquée à admettre . C’est l’une des émotions que nous cachons ou nions le plus volontiers, par pudeur ou par peur du jugement...
Aceptons qu’il est légitime d’être triste quand nous sommes privés d'une personne qui a ou avait de la valeur à nos yeux.
Un peu de compassion envers nous-même est nécessaire, comme nous le ferions envers une personne qui vivrai la même expérience.
Peur de montrer notre vulnérabilité, préférant étouffer notre tristesse risque de nous faire tomber dans la colère à la place. De plus, une tristesse non acceptée peut mener à une peur chronique de se retrouver dans une situation similaire qui débouche ensuite sur un évitement pur et simple. Ainsi après une séparation, certaines personnes ont tellement peur de souffrir à nouveau qu’elles ne parviennent plus à s’engager.
Laisser libre cours à des larmes réparatrices peut être bénéfique: on se sent mieux après un gros chagrin et il est plus facile alors de prendre du recul face à la situation.
Apparemment, on pleure le plus souvent tout seul dans son coin.